Selon une enquête effectuée en mars 2005 auprès d’une fraction non représentative du personnel, 37% des salariés interrogés seraient satisfaits de a reconnaissance professionnelle à Disneyland Paris.
Autrement dit, l’insatisfaction gagnerait 63% d’entre eux. La direction a donc échafaudé un projet de reconnaissance professionnelle dont le contenu laisse rêveur : distribution personnalisée de pin’s d’ancienneté, bons cadeaux, tickets de cinéma
Bref, rien !
La CFDT attend une remise à plat des critères d’évaluation, des grilles de passage aux différents coefficients 200 avec de vraies négociations et la création d’un coefficient 220 là où il est inexistant.
La reconnaissance professionnelle se concrétise par la négociation et pas dans les contes de fées.